Appel à l’aide: «Je me plains tout le temps»

SAMUEL PRADIER publie dans Le Journal du Quebec un article fort intéressant.

Entendre quelqu’un se plaindre à propos de tout et n’importe quoi est désagréable pour l’entourage, mais cette attitude est souvent un appel à l’aide, doublé d’un besoin de reconnaissance. 

https://www.journaldequebec.com/2022/09/24/appel-a-laide-je-me-plains-tout-le-temps

Pour la psychologue Luce Janin Devillars, «arrêter de se plaindre, c’est commencer par apprendre à dire non». Il faut être responsable de nos actes et de nos résultats. La plainte est une façon de se dédouaner, de ne pas prendre sa vie en main. …

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Procrastiner ou rêver ?

Choisir le bon chemin
Choisir le bon chemin

Les « procrastineurs » sont des perfectionnistes mais aussi des rêveurs qui préfèrent le rêve de la réalisation à la réalisation elle-même. En ne terminant pas ce qu’ils ont commencé et, parfois, en ne commençant même pas, ils se mettent à l’abri de l’échec. Car l’échec est, à la fois, une confrontation avec les autres mais, surtout, une confrontation avec soi-même. Comme les tous jeunes enfants, ils sont installés dans un fantasme de toute-puissance : Je peux faire ce que je veux, où je veux et quand je veux. Pour en savoir plus : Pourquoi certaines personnes ne finissent-elles jamais ce qu’elles commencent ? … – L’Express

www.lexpress.fr › Styles › Vie Perso › Psycho (6 févr. 2017 )

 

Des femmes qui inspirent

"On ne naît pas femme, on le devient." Simone de Beauvoir
« On ne naît pas femme, on le devient. » Simone de Beauvoir

Les hommes et les femmes sont enfermés dans un système de représentations psychologiques, sociales et comportementales qui constituent des freins à l’égalité et à leur bonne entente réciproque.

Elles sont incapables de s’entendre, elles se « crêpent le chignon » entend-t-on souvent. En fait, c’est un cliché machiste très ancien porté par les femmes elles-mêmes car elles ont intégré, de manière inconsciente, les idées portées par « l’idéologie du père »: celui qui sait et qui décide. Même encore aujourd’hui, il est dérangeant pour les hommes de pouvoir de considérer une femme qui acquiert des responsabilités. C’est une harpie, une « hystérique » et elle a peut-être réussi grâce à la « promotion canapé ». Pour en savoir plus :

www.elle.fr  – Des duos de femmes qui assurent et dont on s’inspire ! 
Le marketing de soi – 18 octobre 2016

Cinq questions à Luce Janin Devillars

Spécialiste de l’aide aux changements, la psychanalyste Luce Janin Devillars, auteur de «Changer sa vie» (éd. Pocket) donne quelques conseils astucieux pour mieux s’engager dans une nouvelle voie.

Femme en ville : Pourquoi ce besoin de changer de vie ?

Luce Janin Devillars : On a presque tous, à un moment donné de son existence, l’envie de changer de peau et de se débarrasser de sa carapace pour aller vers autre chose. L’idée de changement émerge naturellement quand l’insatisfaction se fait jour. Aujourd’hui, on a davantage de chance, car on peut faire plusieurs formations, avoir plusieurs métiers successifs, rencontrer d’autres hommes ou femmes dans sa vie. La société l’accepte mieux qu’avant.

FEV: Changer de pays, de travail ou d’amour, est-ce une façon de repartir à zéro ?

LJD : Oui, forcément Mais il ne s’agit pas de faire une croix sur son passé, car on ne passe pas son cerveau à l’eau de Javel. Il faut vivre avec sa propre histoire. On a chacun des valises que l’on trimballe. En travaillant sur soi, avec l’aide d’un coach, on arrive à accepter son passé et on découvre les raisons qui nous poussent à vouloir changer. Effacer son passé d’un coup de gomme est un rêve !

FEV : Comment devient-on capable de tout changer ?

LJD : L’ouverture d’esprit et la capacité d’adaptation sont indispensables. De plus, il faut savoir prendre de la distance par rapport à ce qui nous arrive, car rien ne se passe jamais comme prévu! Les désillusions font notamment partie de ces bouleversements.

FEV : Prendre une année sabbatique, oui ou non ?

LJD : Si on en a les moyens financiers et matériels, bien sûr ! En tout cas, il faut prendre le temps de réfléchir pour éviter de se mettre en danger.

FEV : À partir de quand est-ce de l’instabilité ?

LJD : À partir du moment où I’on ne se fixe jamais, où l’on change d’orientation chaque année, par exemple.

Avant le départ, un dilemne…

Faire sa valise
Faire sa valise

Qu’on soit plutôt bagage-cabine ou sac à dos géant, chaque été, c’est la même chose. Au moment de faire son sac, le voyageur est tiraillé entre ses besoins réels et le désir de tout emporter « au cas où ». Avant le départ, l’éternel dilemne de la valise, je mets quoi dedans ?

« Débrouillologie » : la dernière tendance

Débrouillologie la dernière tendance

Consommer autrement, combiner ses acquis, louer une chambre de son appart, et surtout inventer son job… Autant de façons de solliciter nos ressources pour faire face, et changer notre vie. Par Valérie Josselin

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Dans une rupture d’équilibre – ce qui définit la crise – on apprend à tenir autrement. Les fissures du système ont ouvert des voies multiples pour s’en sortir et bousculer notre système de valeurs et de représentations. On organise des vide-greniers, on arrondit nos fins de mois grâce à nos hobbies, on échange notre appart pour voir du pays. Le do it yourself a remplacé le made in China. La débrouille version 2016 mise aussi sur l’entraide et le partage, gagnant ainsi ses lettres de noblesse…

Ces personnes qui nous inspirent

Ces personnes qui nous inspirent

Elles nous donnent du souffle, de l’énergie et l’envie d’avancer. Parfois aussi, on les choisit pour des raisons plus complexes. Par Isabelle Gravillon

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« J’ai eu un coup de foudre pour Frida Kahlo après avoir lu sa biographie. J’ai eu l’envie irrépressible de m’approprier un peu de sa créativité, de son aptitude à la résilience, de son aisance à se mêler à toute l’intelligentsia de son époque. Le Mexique si flamboyant dans lequel elle évoluait m’inspirait aussi énormément », confie Laura, 52 ans, architecte.  » Ce désir de s’identifier à des personnes inspirantes, connues ou pas, réelles ou fictives, est un signe de bonne santé psychique, remarque Saverio Tomasella, psychanalyste. Cela montre une envie d’évoluer, de continuer à se construire et enrichir sa personnalité tout au long de la vie ».